« Max Verstappen war einfach unglaublich, allein auf der Welt. Er flog über das Rennen », constate Sergio Pérez, sans montrer la moindre déception. Le Mexicain ne ressent pas de frustration, juste de l’admiration pour celui qui vient de transformer en randonnée dominicale l’une des courses les plus redoutées du calendrier. Francorchamps, même par beau temps, demeure ce monument où se font et se défont les réputations. Si seuls les meilleurs y triomphent, ils ne sont qu’une poignée à en avoir fait leur jardin. Qu’importe que son meilleur temps signé la veille se soit transformé en 14e place sur la grille par le jeu des pénalités moteur, au terme du 1er tour, Max Verstappen était déjà 8e. Sixième au 5e, il progressait la fleur au fusil, passant Sebastian Vettel, Fernando Alonso et George Russell en trois boucles. Le leader Carlos Sainz ayant effectué son premier arrêt au stand, il se retrouvait 2e dans l’aspiration de la voiture-sœur, qu’il dé
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