Pirelli, qui a posé sa candidature pour rejoindre la Formule 1 en 2011, espère compter sur Ferrari comme un allié de poids. « Nous avons prouvé notre savoir-faire dans d?autres disciplines, si bien que nous possédons les compétences internes pour la F1, se justifie Marco Tronchetti Provera, directeur de Pirelli, à la Gazzetta dello Sport. S?ils ouvrent une fenêtre nous permettant de ne pas avoir un impact négatif sur nos comptes, alors les discussions deviendront intéressantes. J?en ai parlé à Montezemolo (président de Ferrari, ndlr), il doit servir les intérêts mais, en tant qu?Italien et en tant qu?ami, il aimerait. » Lors des discussions qui se tiendront entre les différents membres de la FOTA, nul doute que ce soutien aura son importance.
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