Ocon: Kein guter Freitag

Esteban Ocon était ravi de retrouver le Circuit Paul Ricard dans le cadre du Grand Prix de France ; il était en revanche moins satisfaisant à la vue des performances de sa Force India.

veröffentlicht 22/06/2018 à 21:08

Julien BILLIOTTE

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Ocon: Kein guter Freitag

Le Français a dû se contenter des 12ème et 16ème chronos lors des deux séances libres du vendredi. Okon a notamment perdu du temps de roulage dans la matinée en raison d’un plat sur l’un de ses pneumatiques qui lui a coûté 20 minutes.

Il a ensuite dû patienter un certain temps dans le garage en Essais Libres 2 tandis que l’écurie enquêtait sur les raisons qui ont entraîné la perte d’une roue à l’arrière gauche sur la VJM11 de son coéquipier Sergio Pérez.

« Ce ne fut pas un bon vendredi, a confié le Normand dans le paddock après coup. J’étais en difficulté avec la voiture, notamment la tenue de route. Il va falloir bosser dur pour voir ce qu’on peut faire et inverser la tendance samedi. Il y a plusieurs raisons qui expliquent notre état de forme mais nous préférons les garder pour nous. On aurait aussi aimé rouler plus.

On a eu des conditions piégeuses avec beaucoup de vent, particulièrement en EL2. On a quand même appris des choses. On n’a pas encore amené la voiture là où on voudrait l’avoir en matière de performance. On n’est pas en position de force comme on l’a connu sur d’autres pistes. On va bien bosser cette nuit et il nous reste encore une séance samedi matin pour s’améliorer. L’important c’est demain, aujourd’hui, personne ne s’en souviendra. L’objectif, ça reste la Q3 ".

Feuille des temps mise à part, Ocon était en tout cas très content d’évoluer sous l’œil des spectateurs français pour le retour de la F1 dans l’Hexagone après 10 ans d’absence.

« C’est un vrai bonheur de rouler ici, fügte der 21-jährige junge Mann hinzu. Je suis vraiment content d’être là avec le public qui nous soutient et les drapeaux français dans les tribunes. Il ne faut pas que ce soit une pression supplémentaire, si on commence à penser comme ça, c’est là qu’on peut se louper ".

 

Julien BILLIOTTE

Stellvertretender Chefredakteur von AUTOhebdo. Die Feder war in Galle getaucht.

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