Barrichello: „Michael hat sich nicht verändert“

Rubens Barrichello ist nach dem Manöver, dessen Opfer er wurde, nicht gerade freundlich zu Michael Schumacher. Für ihn hat sich das Deutsche nicht verändert.

veröffentlicht 02/08/2010 à 18:25

Redaktionsteam

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Barrichello: „Michael hat sich nicht verändert“

Rubens Barrichello, en voyant Michael Schumacher en ligne de mire dimanche, s?est vu très motivé pour aller chercher son ancien coéquipier. Pilote Ferrari au moment de la suprématie de Schumi, Rubinho a beaucoup souffert de son statut de deuxième pilote, totalement dévoué à l?Allemand, selon la volonté de la Stabil. Barrichello a voulu s?offrir un dépassement sur l?Allemand. Mais ce dernier ne s?est pas avoué vaincu et a résisté à son ancien coéquipier, risquant de le pousser contre le muret des stands (Video sehen).

« S?il veut aller au paradis, dans le cas où il aille au paradis, je ne veux pas y aller avant lui ! », a commenté Rubens Barrichello. « Dieu merci, le mur se finissait là où il m?a tassé car je suis passé à quelques millimètres près. J?ai dit aux commissaires que nous sommes deux des pilotes les plus expérimentés et si Michael fait ça, les jeunes pourraient le faire aussi. » Les commissaires ont donc fait passer le message que ce geste était à proscrire en pénalisant l?Allemand de dix places sur la prochaine grille de départ.

« Je suis surtout très heureux d?être là et de pouvoir vous parler, a continué le Brésilien. Je n?irai pas lui faire par de mon sentiment parce que ça ne résoudra rien. Vous connaissez Michael : vous lui dites quelques chose et il pense qu?il a toujours raison. Il a été absent trois ans, il revient et il n?a pas changé. C?est toujours le même. »

De son côté, Michael Schumacher, après avoir « revendiqué » sa manœuvre, a compris qu?il avait été un peu rude. « Hier, après la course, j?ai parlé alors que j?étais encore dans le feu de l?action, erklärt Schumi. Mais, après, j?ai revu la passe d?armes avec Rubens et je dois dire que les commissaires ont pris la bonne décision : la manœuvre à son encontre était trop limite. Je voulais lui compliquer la tâche pour me dépasser. J?ai aussi voulu lui monter que je ne voulais pas le laisser passer à l?intérieur. Mais je ne voulais pas que ma manœuvre le mette en danger. S?il a eu ce sentiment, alors désolé, car ce n?était pas mon intention. »

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