Il n’est pas faux d’affirmer que jusqu’ici, Éric Camilli a connu une carrière cabossée. Très tôt propulsé en Mondial après seulement quelques années de formation, il s’est retrouvé avec immédiatement beaucoup de pression. Cette arrivée sans doute trop précoce s’est poursuivie avec un programme au volant d’une WRC im Jahr 2016 um M-Sport alors qu’il comptait à peine huit courses sur une R5 comme bagage. S’il y a eu de belles choses (5eau Portugal, 6e en Sardaigne), le pilote lui-même reconnaît qu’à ce moment-là, il manquait de préparation. Deuxième du WRC2 en 2017, Camilli semblait parti pour établir des bases solides et revenir vers le sommet, mais tout est allé de travers. De bonnes intentions se sont arrêtées en route, des pannes de budget ont fait
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